Ci-dessus, Jean-Pierre Mirande qui a défendu le WIMAX jusqu'au bout et qui inaugure l'ADSL. On appelle ça le centrisme. Un coup babord, un coup tribord, tout dépend de la direction du vent.
"Ça sera ça ou rien"... Hu hu ! Il y a des phrases dans mon existence qui résonnent, parfois 20 ans après qu'elles aient été prononcées. "Ça sera ça ou rien", probablement je ne l'oublierai jamais. Un peu comme cette phrase prononcée par nos chers élus locaux, du temps du passage du gazoduc en Soule, et qui disaient : "il faut se donner les moyens de créer 600 emplois"... C'était dans les années 90. C'est descendu à 400 emplois, quelques années après, puis aujourd'hui, cette phrase - malgré le fait qu'elle continue de me hanter - a totalement disparu de la circulation. "Ça sera ça ou rien", c'est une phrase qui a été prononcée par Dominique Bosq (Président de la Communauté des communes Xiberoa) lors d'une réunion, il y quelques mois. Il parlait du WIMAX. Finalement, ça n'a pas été "rien", puisqu'il y a quelques semaines, l'ADSL a été inaugurée à Moncayolle et que le WIMAX est en train de se carapater. Mais maintenant qu'importe, nous avons l'adsl. Qu'importe ? Pas si simple, parce-que ces deux dernières années me tournent dans la tête. Les mensonges, les calomnies, les pleutreries, l'argent des contribuables qui s'échappe en fumée.
Une question... Pourquoi les élus ne continuent-ils pas de défendre le WIMAX ? Mystère ! Hu ! hu !
Je suis allé à la réunion débat au sujet de l'ours il y a quelques jours à Euskal Herriko Laborantza Ganbara. J'ai eu le plaisir d'entendre M. Zamponi, berger en vallée d'Aspe : "J'ai accepté l'ours comme lorsque on est berger, on accepte la tempête, la grêle, la neige, le vent". Merci M. Zamponi, du fond coeur. J'ai été un peu déçu par le fatalisme, voire l'indifférence scientifique d'un Jean-Michel Parde et totalement Consterné par le président de l'ADEB, Alain Iriart (Association de défense des éleveurs de Basabürüa). Je ne parlerai pas de ce dernier dont le discours était creux, on ne peut pas parler de quelque chose qui n'existe pas. Dans la salle j'ai entendu des propos écocidaires de petits humains qui se félicitaient de la disparition de l'ours dans les Pyrénées et qui se félicitaient d'avoir, dans la salle de leur mairie, la photo du dernier homme qui a tué un ours prés de chez eux. "Sa photo à la mairie se trouve à côté de l'autre. L'autre photo disparaitra probablement bientôt, mais celle-ci restera toujours".
Autant vous dire que je suis sorti de là avec des os transformés en molasse, de la chair transformée en un vulgaire sirop de supermarché.
Je pense à toi Hartza. Je suis triste. je suis Hartza, je suis un chien de Léo Ferré.
Nous aboyons avec des armes dans la gueule
Des armes blanches et noires comme des mots noirs et blancs
NOIRS COMME LA TERREUR QUE VOUS ASSUMEREZ
BLANCS COMME LA VIRGINITÉ QUE NOUS ASSUMONS
NOUS SOMMES DES CHIENS et les chiens, quand ils sentent la
compagnie,
II se dérangent, ils se décolliérisent
Et posent leur os comme on pose sa cigarette quand on a quelque
chose d’urgent à faire
Même et de préférence si l’urgence contient l’idée de vous foutre
sur la margoulette
Je n’écris pas comme de Gaulle ou comme Perse l
JE CAUSE et je GUEULE comme un chien
JE SUIS UN CHIEN
Des armes blanches et noires comme des mots noirs et blancs
NOIRS COMME LA TERREUR QUE VOUS ASSUMEREZ
BLANCS COMME LA VIRGINITÉ QUE NOUS ASSUMONS
NOUS SOMMES DES CHIENS et les chiens, quand ils sentent la
compagnie,
II se dérangent, ils se décolliérisent
Et posent leur os comme on pose sa cigarette quand on a quelque
chose d’urgent à faire
Même et de préférence si l’urgence contient l’idée de vous foutre
sur la margoulette
Je n’écris pas comme de Gaulle ou comme Perse l
JE CAUSE et je GUEULE comme un chien
JE SUIS UN CHIEN