jeudi 28 octobre 2010

BlogaBloga le 2 novembre 2010


Eh oui les amis! La prochaine émission sera diffusée le mardi 2 novembre 2010 à 20 heures sur Xiberoko Botza (95.5FM). Pas d'invité ce coup-ci, mais des sujets brûlants comme on les aime!

- Etienne va d'abord vous expliquer pourquoi le livre de Zoe Shepard "Absolument dé-bor-dée!" est une success story!
- Allande vous parlera (dans la langue de Matalaz) de notre empreinte carbone et des multiples façons de la mesurer en ligne!
- Etienne (absent lors de l'émission de la rentrée) remettra le couvert avec une chronique explosive intitulée "journal de guerre", qui tentera de retracer le rôle controversé des forces de l'ordre lors des récentes manifestations contre la réforme des retraites!
- Laurent vous parlera de son amour pour les livres, en vous faisant découvrir le magnifique "Danse avec les Ours", de Christian Laborde!
- et on terminera par le traditionnel Agenda du mois!

Comme vous pouvez le voir, le programme est bien costaud (comme il faut)! Ne manquez pas cette émission qui risque fort de rester dans les annales (et dans certains anus!)
;-)

Les anciennes émissions, les chroniques sont disponibles sur le blog :

lundi 25 octobre 2010

visuels de la période sociale - politique

4 docs visuels instructifs et évocateurs de la période sociale - politique :

- le film "la Chute" détourné en fiction/réalité :

- une vidéo étonnante, pleine d'enseignements, sur le rôle des flics en civil de la BAC à Lyon, puis la fuite d'un peloton de GM qui les protège, ou quand le rapport de force
social et militant arrive à intimider/ridiculiser les "forces du désordre", sans franchir la ligne rouge comme c'est heureusement le cas depuis 1 mois en France (le lynchage
n'est jamais très loin dans ces moments : voir les manifs sidérurgistes en mars 1979) :

- un document édifiant sur le mouvement vu depuis les USA, avec des photos magnifiques :

- une vidéo déjà vue par beaucoup, sur les provocs des flics en civil à la manif du 12/10 à Paris, où pour la 1ère fois on a une preuve visuelle, accablante et révoltante, de
l'implication directe de la police dans ce qu'on appelle "les casseurs". Images commentées et disséquées par le site "arrêt sur images" :

dimanche 24 octobre 2010

"Vers dorés"

Eh quoi ! tout est sensible !
PYTHAGORE.

Homme, libre penseur ! te crois-tu seul pensant
Dans ce monde où la vie éclate en toute chose ?
Des forces que tu tiens ta liberté dispose,
Mais de tous tes conseils l'univers est absent.

Respecte dans la bête un esprit agissant:
Chaque fleur est une âme à la Nature éclose;
Un mystère d'amour dans le métal repose;
« Tout est sensible ! » Et tout sur ton être est puissant.

Crains, dans le mur aveugle, un regard qui t'épie :
A la matière même un verbe est attaché...
Ne la fais pas servir à quelque usage impie !

Souvent dans l'être obscur habite un Dieu caché;
Et comme un œil naissant couvert par ses paupières,
Un pur esprit s'accroît sous l'écorce des pierres !

Gérard de Nerval.

vendredi 22 octobre 2010

Le Conseil Général se place pour les corridas

Le Conseil Général a acheté 70 places de corridas en juin dernier pour un montant de 3690 euros. Facture à l’appui, c’est ce que dénonce le Crac (Comité radicalement anti-corrida) en accusant le département de fournir ainsi une subvention déguisée à la temporada bayonnaise. Il faut dire que le procédé est déjà éprouvé au Conseil général, comme ce fut par exemple le cas pour l’achat massif de places lors du concert d’Anne Etchegoyen à l’Olympia de Paris en février 2009. Il s’agissait alors, pour le Conseil Général, de promouvoir l’image du Sud Ouest.
Cette fois, la somme est plus modeste. Il n’en reste pas moins qu’elle sort de la poche du contribuable, pour un objectif incertain. Il ne s’agit pas, à Bayonne, d’une tradition séculaire qui justifierait sa sauvegarde patrimoniale et le Conseil général n’est pas autorisé à subventionner les activités de cette nature. Reste donc l’habituel fourre-tout à subventions exceptionnelles, généralement associé à la promotion d’un territoire, comme ce fut déjà le cas lors du concert parisien de la chanteuse basque. On peut cependant douter du bien fondé marketing de cette image tauromachique, irrémédiablement altérée par la dictature espagnole et si peu ressemblante au contribuable moderne des Pyrénées-Atlantiques.
C’est là que le bât blesse et sans présumer de l’opinion de la Cour des comptes sur la question, le financement public des corridas reste le point faible de leurs promoteurs, parmi lesquels figure en bonne place le maire de Bayonne, Jean Grenet, président de la commission taurine à l’Assemblée Nationale. La mairie de Bayonne vient justement d’annoncer un déficit de 92.000 euros pour la temporada 2010. Les bayonnais devront payer une nouvelle fois pour n’être pas allé à la corrida.
En marge des discussions sur la souffrance animale, il est difficilement soutenable de demander aux contribuables de financer un spectacle qu’il est désormais admis de cantonner à la sphère privée. Signe de ce temps, Jean Grenet avait lui-même déclaré qu’il était « inacceptable » que le déficit des corridas soient supporté par les contribuables. C’était en janvier 2009 et la facture, particulièrement salée, s’élevait à 180.000 euros. Deux temporadas plus tard, le bilan reste donc à la moitié de cet « inacceptable ». Et même un peu plus, à l’heure où les Bayonnais reçoivent leurs taxes locales, en songeant que de l’argent public du département sert déjà à colmater la brèche.

mercredi 20 octobre 2010

Dieu est las !

Je n'ai pas la foi. je suis agnostique. Etre agnostique, pour moi, c'est se permettre toutes les questions, sans chercher à y répondre, sans se mettre une inutile pression. Déjà trouver la bonne question …. ce n'est pas une sinécure ! Alors quand je pense que certains sont persuadés avoir toutes les réponses ! Les réponseux, jusqu'à aujourd'hui n'ont fait que répandre la haine, cathos, islamistes, juifs ! Au mieux, l'ignorance.
Envahir le monde de réponses c'est comme vomir sur la vérité, la couvrir de merde.
Pour dire qu'aujourd'hui, je trouve une bonne partie des chiliens totalement ridicules de parler de miracle, parce que 33 mineurs (âge de Jésus quand il est mort ! C'est dire) ont été sauvés. Franchement c'est à pleurer de rire. Mais au fond, ça me rend triste pour les chiliens, triste pour l'humanité car avec ce genre d'idées, j'ai vraiment l'impression que nous faisons trois pas en arrière, direction le Moyen-Age.
Il y a quelques années, j'avais entendu la même réflexion lorsqu'un mirage 2000 s'était cassé la gueule à quelques encablures du lycée agricole à Berrogain Larruns. "Grâce à la volonté de Dieu il est tombé à côté du lycée" ai-je entendu dire. Grâce à la volonté de dieu 33 mineurs ont été sauvés. Mais expliquez-moi pourquoi dieu, qui aurait ce pouvoir là, laisserait tomber un mirage dans un champs ? Pourquoi Dieu puisqu'il a ce pouvoir sauverait 33 mineurs ici et en ferait crever 100 autres ailleurs, dans l'anonymat ?
Cette religion qui apporte toutes les réponses sur un plateau comme dans un self service, ne nous défausserait-elle pas plutôt de nos responsabilités ?
Quant à moi, je me sens épris de spiritualité. Et si la religion, c'est relier les hommes entre eux, les relier à la nature et se poser des questions, à ce compte-là, je suis religieux. Et tant mieux si au bout il y a quelque chose qui s'appellerait Dieu. Si être religieux c'est être un consommateur dans les supermarchés de la croyance, ça vaut pas un clou… Même pas celui qui a crucifié M. Jésus.

En ce moment, je replonge un peu dans le bain Léo Ferré... Alors, pour illustrer ce petit texte, voici une superbe chanson qui parle de religion.


lundi 18 octobre 2010

Guillaume Sarkozy, futur bénéficiaire de la réforme des retraites ?

Selon Médiapart, le frère du président vise le pactole du marché de la retraite complémentaire privée. Et prépare pour cela une alliance avec des acteurs semi-publics.

Le site d'information Médiapart affirme jeudi 14 octobre que la réforme des retraites pourrait favoriser les intérêts du groupe Malakoff Médéric, dont le délégué général n'est autre que Guillaume Sarkozy, le frère du chef de l'Etat.

Selon Médiapart, la réforme "va conduire à l'asphyxie financière des grands régimes par répartition" et sera donc "propice à l'éclosion de ces grands fonds de pension qui n'étaient pas encore parvenus à s'acclimater en France, à quelques rares exceptions près". Parmi les opérateurs privés d'ores et déjà sur les rangs, figure le groupe Malakoff Médéric.
Des alliés puissants

"Il ne s'agit pas que d'une coïncidence. Mais bien plutôt d'une stratégie concertée en famille", écrit Médiapart, "l'un assèche les régimes par répartition tandis que l'autre pose les fondements du système par capitalisation". Le site ajoute : "Guillaume Sarkozy a engagé son entreprise dans une politique visant à en faire un acteur majeur de la retraite complémentaire privée. Et il a trouvé des alliés autrement plus puissants que lui, en l'occurrence la Caisse des dépôts et consignations (CDC), le bras armé financier de l'Etat, et sa filiale la Caisse nationale de prévoyance (CNP). Ensemble, tous ces partenaires vont créer, le 1er janvier prochain,une société commune qui rêve de rafler une bonne part du marché qui se profile."

"Cette société n'aurait jamais vu le jour sans l'appui de l'Elysée", écrit Médiapart. En effet, la Caisse des dépôts et consignations est une institution publique présidée par un parlementaire. Pour sa part, la Caisse nationale de prévoyance (CNP) est une filiale de la Caisse des dépôts et consignations, de la Banque postale et du groupe Caisses d'Epargne, lui-même présidé par François Pérol, ancien secrétaire général adjoint de l'Elysée.

En outre, la Caisse des dépôts gère le Fonds de réserve des retraites. "Pourquoi la CDC se lance-t-elle dans pareille aventure pour faire le jeu du système adverse, celui par capitalisation?", demande Médiapart. "Et pourquoi, de surcroît, le faire avec une entreprise dont le patron est le frère du chef de l'Etat?"

L'enjeu n'est pas mince. Le marché pourrait représenter "40 à 100 milliards d'euros" : en fonction de l'aspect final de la réforme, les Français connaîtront une baisse plus ou moins considérable du taux de remplacement, c'est-à-dire du montant de la pension rapporté au salaire, et donc se précipiteront sur les systèmes de retraite complémentaire. Médiapart publie notamment un "business plan" confidentiel, qui fixe pour objectif une part de marche de "17%" d'ici dix ans.

mercredi 13 octobre 2010

LA GREVE GENERALE…JUSQU’AU RETRAIT

APPEL de l’ASSEMBLEE GENERALE des GREVISTES,
de toutes LES PERSONNES MOBILISEES
(lycéen-ne-s, étudiant-e-s, jeunes, chômeurs-euses, retraité-e-s…)
12 OCTOBRE, BOURSE DU TRAVAIL DE BAYONNE

LA GRÊVE GENERALE…JUSQU’AU RETRAIT

Nous avons manifesté en masse les 7 et 23 septembre, le 2 octobre et encore aujourd’hui.
Il y a déjà des secteurs en grève comme les employés des cantines et les agents du port de Marseille ; de nombreux appels à reconduire la grève après le 12, souvent intersyndicaux, se multiplient depuis quelques jours : dans la Chimie, les Transports, à la RATP, chez les cheminots, les gaziers, les électriciens etc…et des mouvements commencent chez les jeunes.
La pression monte. La situation est favorable pour aller vers une grève générale, vers le blocage de l’économie, seul moyen pour faire reculer Sarkozy et son gouvernement.
Notre revendication unitaire : retrait pur et simple de la contre réforme des retraites.
Les grévistes réunis ce jour à Bayonne se prononcent pour reconduire la grève.
Ils-elles appellent à organiser dès demain dans toutes les entreprises, du privé et du public, des assemblées générales pour discuter de la reconduction. C’est sur chaque lieu de travail que les salarié-e-s doivent décider.
Ils-elles appellent à la tenue régulière d’assemblées générales pour faire le point sur les reconductions en cours, pour coordonner les actions et débattre des suites du mouvement.
Premiers Rendez-Vous : demain mercredi 13 octobre à 9h puis à 18h à la Bourse du Travel de Bayonne


GREBALARIEN BATZAR OROKORRERA DEIA
URRIAREN 12an, BAIONAKO LAN BURTSAN 14:30etan

GREBA OROKORRA, PROIEKTUA BAZTERRERAT EMAN ARTE

Andana bat izan ginen manifestaldietan irailaren 7eta 23an, urriaren 2an eta oraino gaur.
Badira jadanik greban ezarri diren langile multzoak, jantegietako eta Marseillako portuko langileak; 12aren ondotik greba iraunkorrerako deialdiak, usu intersindikalak, biderkatu dira azken egunotan : kimika, garraio, RATP, trenbide, gas hodi, elektrika eta abarreko langileenak... eta mugimendua hasten da gazteen munduan.
Presioa gorantz doa. Egoera gure alde da greba orokor baten egiteko, hori baita Sarkozy eta haren gobernuari gibelerat egin arazteko molde bakarra.
Denek batera sustengatzen dugun aldarrikapena : erretretaren kontra-erreforma bazterrerat ematea. Gaur Baionan bildu diren grebalariek greba iraunkorraren alde egin dugu eta bihar lantegi guzietan, publiko zein pribatuetan, grebaren iraun arazteko batzar orokorrak antolatzera deitzen ditugu. Langile bakoitzak bere lantegian behar du erabaki.
Iragaiten diren luzapeneri buruz pundua egiteko, gure ekintzen kudeatzeko eta mugimenduaren segidaz eztabaidatzeko lanbide arteko biltzar nagusiren atxikitze erregularreri deitzen dute.
Lehen hitz orduak bihar asteazkenarekin urriaren 13an 9etan et 18etan Baionako Lan Burtsan.

lundi 4 octobre 2010

GROUPES DE PAROLE METHODE ESPERE

L'association KARKAILA XIBEROA

met en place

des groupes de parole mensuels sur le thème de la relation à nos enfants

pour les parents, pour les personnes travaillant avec des enfants,

et pour tous ceux qui tentent de communiquer autrement


Un groupe de parole...

partager des expériences,

un lieu pour échanger,

une écoute réciproque,

Ces groupes de paroles seront animés par Valérie Nabarra, formatrice en communication relationnelle

méthode ESPERE® – Jacques SALOME

Rendez-vous le mardi 19 octobre à 20 h 30

au Centre Multiservices de Mauléon

Salle Ahusky

Adhésion à l'association Karkaila Xiberoa(10€)

Entrée gratuite pour ce premier groupe de parole.

***

Pour tous renseignements : 05 59 28 38 14

www.karkailaxiberoa.com


dimanche 3 octobre 2010

Week-end militant

Vendredi soir, j'étais à la rencontre Psytoyenne « Bilan/perspectives des luttes menées en vallée d’Aspe ». Sur la photo, Eric Pétetin et à gauche André Cazetien. Eric, qui s'est spontanément engagé à nous écrire quelque chose pour notre livre Paroles d'écolos. La discussion est allé bon train autour du Tunnel du Somport, de l’axe E7 et de la réouverture de la ligne Ferroviaire Pau Canfranc. La lutte continue et plus que jamais la merveilleuse vallée d'Aspe a besoin des énergies de ces hommes et de ces femmes qui ont déjà mené un dur combat il y a 20 ans de cela. Respect.

Le lendemain matin, nouvelle manif en famille à Pau pour montrer à Nicolas Sarkozy que nous ne baissons pas les bras et qu'il est impensable - comme dit le slogan - que ce soit NOUS qui payons LEUR crise.
Et pour finir, l'après-midi de ce même jour, rencontre avec l'écrivain Christian Laborde qui présentait son dernier livre "Le soleil m'a oublié", à Oloron à la Petite librairie. Quel bonheur que d'écouter cet écrivain talentueux !
J'ai réussi à me procurer sur internet un livre de Christian Laborde épuisé à ce jour. "Danse avec les ours- OPA sur les Pyrénées". Une petite perle écrite en 1992 dans lequel l'auteur pousse un superbe coup de gueule contre les technocrates et les zélus, le zournal propagandiste et le zuze qui met les écolos pacifistes en prison. Christian parle notamment du Gazoduc et des paysans spoliés… Quand "Jacques le croquant devient Jacquou le Croqué, sous l'oeil complice des zélus "…

vendredi 1 octobre 2010

Tous dans la rue demain !

Pour rappel

Communiqués de presse

Communiqué commun CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FSU, UNSA

Paris, le 24 septembre 2010

Les organisations syndicales considèrent que la journée nationale d’action du 23 septembre 2010 est un franc succès. Les salariés du public et du privé, en participant massivement à cette 2ème journée de grèves et de manifestations du mois de septembre, ont réaffirmé leur détermination à ne pas accepter une réforme injuste et inefficace.

La journée d’hier a été marquée par l’engagement de nouveaux salariés du privé, notamment des PME mais aussi par la présence de plus de jeunes et de femmes. Cette vaste mobilisation s’accompagne d’un large soutien de la population qui refuse le report de l’âge légal de départ à la retraite de 60 à 62 ans ainsi que celui de 65 à 67 ans pour toucher une retraite à taux plein. Quoi qu’en dise le Gouvernement, la démobilisation suite au vote à l’Assemblée nationale, n’a pas eu lieu.

C’est bien l’exigence d’un véritable débat et l’examen d’autres alternatives au projet de loi qui s’expriment plus fortement.

Les organisations syndicales mettent en garde le Gouvernement sur les conséquences que provoquerait l’ignorance de la colère qui s’exprime profondément.

Les organisations syndicales réaffirment leur totale détermination. Elles confirment les termes de leur lettre ouverte unitaire au Président de la République et aux parlementaires, notamment : « le vote de ce projet dans sa logique actuelle n’est pas d’actualité ».

Elles invitent leurs organisations à poursuivre ensemble, à tous les niveaux, la mobilisation unitaire par des initiatives dans les territoires et les entreprises en interpellant les sénateurs et en utilisant (pétitions, tracts…) très largement cette lettre ouverte.

Sachant que le texte de loi sera à l’examen du Sénat à partir du 5 octobre et que la procédure parlementaire pourrait se poursuivre jusqu’au 20 octobre, elles décident :

  • D’une grande journée de rassemblements et de manifestations dans le pays le samedi 2 octobre pour conforter la mobilisation et permettre l’engagement de nouveaux salariés dans l’action.
  • De faire du mardi 12 octobre une nouvelle journée massive de grèves et de manifestations pendant le débat au Sénat. Cette journée trouvera toute sa place pour amplifier la mobilisation dans le cas où les parlementaires ne prendraient pas en compte ce qui s’est exprimé dans l’action et si le Gouvernement restait intransigeant. Le Gouvernement porterait l’entière responsabilité des suites que les salariés et leurs organisations entendront donner au 12 octobre.

Plusieurs organisations participeront à la journée de manifestation européenne du 29 septembre pour s’opposer aux plans de rigueur en Europe. Elle donnera l’occasion à des milliers de salariés français de porter leurs revendications, notamment sur la retraite, à Bruxelles et partout en France.

Les organisations syndicales se reverront le 4 octobre et analyseront la situation.